lundi 2 mai 2016

Un printemps haut en couleurs.

N'était ce vent qui souffle sans perdre haleine, ce printemps serait magique.



Toutes les couleurs sont comme ravivées en ce moment.
Les fleurs s'ouvrent et embaument, tel l' oranger-citronnier qui parfume mon environnement.



C'est également la saison où les produits du marché se diversifient enfin.
Si l'on trouve encore les sempiternels poireaux, choux, oranges et pommes, voici que sont arrivés les asperges, fraises, tomates qui égaient table et papilles!




Hier, premier mai, j'ai confectionné ma première tarte à la rhubarbe (un peu noyée sous le sucre glace, je vous l'accorde),



ainsi que quelques pots de confiture fraises-rhubarbe, avis aux gourmands:



Enfin, ça y est, nous avons enfin acheté nos fameux transats, pour profiter de la piscine, pas encore très chaude, ne soyez pas jaloux!



Les petits bonheurs s'accompagnant toujours de quelques désagréments, si  nous n'avons pas encore pu faire trempette, nous avons par contre été occupés à déboucher un lavabo de salle de bains résistant au célèbre Destop, et à remplacer le défunt micro-ondes..
A cette occasion, nous avons réalisé qu'avoir une cuisine encastrée était certes fort joli, mais pas vraiment fonctionnel lorsqu'un de ses éléments décide de tomber en panne...
Non seulement il fait tout démonter, mais trouver ensuite un appareil aux mêmes dimensions que l'ancien.. merci internet, nous en avons trouvé un semblable,  mais dépourvu de prise..
Et une virée à Castorama, une de plus, mais j'ai maintenant un micro ondes qui fonctionne grâce à un mari bricoleur! 

par ailleurs, je continue toujours à travailler mon piano, et à bouquiner (quand le vent se sera calmé, je pourrai lire sur la terrasse!!).

Ces derniers temps, je l'avoue, je relis surtout les livres redécouverts lors du déballage des cartons- de l'intérêt d'un déménagement.
Après avoir relu divers bouquins qui me tombaient sous la main, quelques Dumas, Martin Winckler (la maladie de Sachs,  le choeur des femmes), je suis maintenant plongée dans Camus, plus précisément aujourd'hui,  dans "la peste".
Je réalise qu'il y a des années que je l'avais lu et  en avais gardé un très bon souvenir, mais qu'à la relecture, cet ouvrage me fascine complètement, mais pour d'autres raisons!
Moralité, il faudrait que je relise tous mes bouquins..

Mission impossible, d'autant que d'autres sortent actuellement, que je dévore tout autant!
Le dernier en date? Un de mes auteurs fétiches..



L'écrivain étant de nationalité sud africaine, j'ai trouvé une critique tout à fait juste de ce livre dans "jeune Afrique" que je vous propose:

"En vrille est une histoire d’alcool – de millésime, de piquette, de dépendance – et de mort. Les enquêteurs cherchent à savoir qui a bien pu tuer un jeune entrepreneur du web dont l’entreprise était spécialisée dans la fourniture d’alibis aux maris volages… Comme à son habitude, Deon Meyer ausculte avec efficacité la société sud-africaine contemporaine, sa violence économique et sociale, ses fractures raciales et le poids omniprésent de son histoire tourmentée. Habilement ficelée, l’intrigue tient en haleine l’amateur de romans policiers sensible aux rebondissements soudains, aux péripéties de l’enquête. Et aux personnages déglingués par la vie. Mais En vrille a un autre intérêt, celui d’offrir en arrière-plan un vaste panorama historique sur la production viticole sud-africaine."

A vos bouquins!

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