mercredi 26 février 2014

Même le soleil a été de la partie pour le double anniversaire du 25 février!!


Un article tiré du Monde a, lui aussi, sans le savoir, participé à mon double anniversaire:
son titre: La plus forte éruption solaire de 2014

"Le 25 février, peu après 1 h 30 (heure de Paris), la plus forte éruption solaire de 2014, et l’une des plus violentes depuis plusieurs années, a soudainement embrasé le limbe de notre étoile. Une énorme bouffée de gaz a été expulsée à plusieurs milliers de kilomètres par seconde, mais, fort heureusement, pas en direction de la Terre qui ne devrait donc être que très marginalement concernée par les conséquences de cette éruption. D’après les spécialistes de notre étoile, on peut s’attendre à une légère augmentation de l’intensité et du nombre des aurores polaires et des perturbations magnétiques ce mercredi 26 février en fin de journée.
L’éruption solaire du 25 février 2014 observée par l’observatoire spatial solaire SDO (NASA). Les traces obliques en pointillé, visibles de part et d’autre de la boucle éruptive, sont des artefacts engendrés par l’éclat exceptionnel de l’éruption."

Sur cette photo, vous pourrez voir ce que cela donne à l'échelle de la terre.. en tout petit à droite!
"

On pourra dire que le passage à la soixantaine de mon mari aura été explosif!

Bon,de mon côté, je dégivre actuellement mon congélateur... glagla!

mardi 25 février 2014

Double anniversaire aujourd'hui!

Et oui, le 25 février de chaque année, c'est l'anniversaire de mon papa et de mon mari!
Je préviens d'ores et déjà, le premier qui prétend faire une analyse psy à mon sujet sur cet évènement a une grande claque dans la figure.
Hier soir, donc,j'ai préparé un dîner spécial pour le dernier jour des 59 ans de mon mari, avec artichauts en barigoule, gnocchis au jus de truffes, et crème à la fleur d'oranger et pistaches!

Ce soir, le vrai dîner d'anniversaire, avec cadeaux en plus!

Car ça y est, je suis mariée à un sexagénaire!
Certains se demanderont peut-être la raison de ma joie.
Elle est pourtant très simple: tout d'abord, notre couple tient toujours aussi bien depuis bientôt 31 ans, et ensuite, je commence à ne plus angoisser à l'idée qu'il se réveille un jour en se demandant pourquoi diable il m'a épousée et quelle idée lui a pris de m'avoir choisie, alors qu'il côtoyait plein d'autres filles plus top que moi!(On ne se refait pas, la confiance en moi n'est pas ma qualité première)

Vendredi, je pars en Dordogne voir mes parents, et donc pourrais fêter l'anniversaire de mon papa, chouette!

Pour tous les deux j'ai donc trouvé cette maxime du chat:

vendredi 21 février 2014

Mes-aventures ches le coiffeur.

Vous connaissez tous mon aversion profonde pour les séances coupe-tifs, auxquelles je devrais me soumettre tous les mois.
En me motivant fortement, j'arrive à y aller tous les 45 jours..

Donc, dernièrement, je me motive à fond, faut dire que ce que j'avais sur la tête commençait à ressembler à une serpillière.
Je prends rendez-vous dans les 20 minutes qui suivent mon appel (sinon, il me faut une semaine pour recommencer).

Ma coiffeuse préférée est là, c'est bon.

Pas de monde, tout se passe bien.
Arrive le moment de la coupe proprement dite. La dernière était parfaite, sublime!
Je redemande la même, celle-là (celle de la fille, bien sûr!):

Et là, comme je suis complètement bigleuse, j'enlève mes lunettes.
J'ai une totale confiance en ma coiffeuse, je ne suis pas en état de stress intégral.

Oui mais voilà, un très méchant rhume l'affecte.. et donc, en empoignant une mèche, un éternuement magistral, et hop, le coup de ciseau part!

Résultat...il a fallu adapter la coupe à la mèche de cheveux disparue, j'ai à nouveau une coupe de moinillon, voire de Jeanne d'Arc...sauf que je n'ai pas le même âge que Jean Seberg..

Conclusion: je n'aime toujours pas les séances coupe-tifs, mais dorénavant, j'exigerai un certificat médical de ma coiffeuse avant d'y aller!
Bouhouhou... snif!

lundi 17 février 2014

Faune, flore et cyber shot.


Je ne vous en ai pas encore beaucoup parlé, mais j'avais eu, dans la hotte du père Noël, un super appareil photo, le Cyber-shot DSC-HX50 de chez Sony.
Pour mémoire, cet appareil a une résolution de 20,4 mégapixels, et un zoom optique de 30x..

Un vrai bonheur.

Pourquoi je vais vous en parler?
Parce que j'ai eu l'occasion de prendre des photos superbes lors de mon séjour à San Francisco la semaine dernière.
Comme je suis à peu près sortie de mon état comateux dû au jetlag, je vais vous en faire profiter.

Voici donc quelques-unes de mes photos prises à Big Basin Redwood State Park tout d'abord.

La flore:
Et oui, nous sommes dans une forêt de cèdres rouges immenses. J'ai pris un tour de rein carabiné pour la prendre cette photo.


Se balader tout seuls dans cette immense forêt fut une expérience magique!

La faune:
et là, je ne suis pas peu fière de mon appareil photo, sans lui, je n'aurais jamais réussi cette photo:

de cet écureuil que si trouvait dans cet arbre-là:
,

ni cet adorable bébé chipmunk qui traversait le sentier:
,

ni ce piaf dont j'ignore le nom, mais qui se camoufle tout aussi bien:

Autres photos prises à Alcatraz cette fois, toujours selon le même principe, la flore:



et la faune:

Et je prouve que j'étais bien à Alcatraz:

d'où on peut voir, quand il n'y a pas de brouillard, la ville de San Francisco:

le plus dur ayant été de vous choisir une photo, car j'ai mitraillé avec mon appareil et dois en avoir prises une vingtaine!

Sinon, San Francisco est toujours la même, avec ses chanteurs, sa foule, et ses lions de mer!

Allez, une dernière pour la route:

Et j'ai trouvé le flash!!!

dimanche 16 février 2014

Jetlag!


Ca y est, me voilà rentrée à Paris après une courte semaine passée à San Francisco!

J'avoue être un peu dans le potage depuis hier après-midi: 11 heures de vol, 9 de décalage horaire.. ça vous défrise une Ciboulette.
Pour le coup, je me trouve dans un état second et l'esprit ailleurs.

Maintenant, je reconnais que ça en valait la peine!
Outre le fait d'y retrouver une partie de ma famille, se balader dans la région de San Francisco est toujours magique.
On m'avait annoncé de la pluie..après quelques gouttes, il y a eu du soleil..et des restrictions d'eau, l'Etat étant déclaré en "sécheresse exceptionnelle"!
J'ai d'ailleurs attrapé un fabuleux coup de soleil à Alcatraz, et non, vous n'en aurez pas la photo!
Retour hier après-midi sur Paris, pour une fois avec du ciel bleu, ouf, voilà qui change agréablement des arrivées sur Roissy sous la grisaille et le crachin..

Je retourne faire la sieste...

samedi 8 février 2014

Pas de bol!

Savez-vous où je pars demain, et pour une semaine?
A San Francisco!

Youpi! Je quitte Paris tout gris, pluvieux et venteux, (beurk):

Certes, peintres et cinéastes ont réalisé de grandes oeuvres sur ce thème:
Seul Woody Allen dans Midnight in Paris peut nous faire croire au ciné, bien à l'abri, qu'on peut aimer Paris sous la pluie.. et en été.

Je m"envole donc pour San Francisco, où les gens sont heureux et arborent depuis jeudi dernier un grand sourire.. parce qu'il pleut enfin depuis des mois!

Heureusement que j'y vais pour retrouver amis et famille, parce que sinon, faire 11h d'avion et quelques pour retrouver le même climat et les mêmes températures serait soit, d'un masochisme profond, soit d'une farouche conviction politique.

Vous avez du mal à suivre?
Suivez un peu les infos..
QUI part en même temps que moi, le même jour, à San Francisco?
QUI se prend la pluie dès qu'il sort pour une manifestation?

La prochaine fois que je veux partir, je vérifie le site de l'Elysée où compte se rendre notre président!
Positivons..
Et comme me l'ont fait remarquer mes amis de là-bas: "pour le temps, je ne vois pas de quoi tu te plains, tu vas voir quelque chose d'une valeur exceptionnelle et que tout le monde souhaitait. Y en a qui font autant d'avion pour voir le Golden Gate… mais c'est banal. Si tu rajoutes un peu de vent dans les narines, tu pourras jouer au cerf volant".
Je sors donc m'entraîner sous l'orage:

mardi 4 février 2014

Mes petits bonheurs.

Quelques miettes de bonheur arrachées au temps.. Il faut apprendre à les reconnaître, les saisir, les savourer et surtout, les garder bien au chaud dans sa mémoire pour les moments difficiles.

Ceux dont je vais vous parler font partie de ceux ci, trop précieux pour les oublier, même si.. ce ne sont que des p'tits bonheurs!

Samedi soir, tout d'abord, un dîner chez une de mes filles qui vient d'emménager dans son nouvel appartement, très sympa, dans Paris, et à qui nous avons ramené.. son chat!
Retrouvailles familiales autour d'un excellent repas préparé par ma fille (rahaa.. son rôti Orloff..), mais également, d'un prodigieux dessert, acheté non loin de chez elle.. à La Pâtisserie de Cyril Lignac


Une pure merveille, le dessert Equinoxe: entremets vanille Bourbon, Caramel beurre salé, Spéculoos.
Croquant, fondant comme on aime, et d'une légèreté sans pareille, je vous le recommande!

Dimanche, une toile, "le vent se lève" de Hayao Miyazaki.

2 heures de bonheur, d'intelligence, de rêve, une sensibilité exacerbée..j'en suis sortie dans les nuages!
Je vous cite la critique de Jean-Philippe Tessé des Inrocks:
"Dans "Le vent se lève", l’alentour est toujours menaçant, gros de fracas (le séisme, la guerre) qui se matérialisent en visions cauchemardesques, et pourtant dans l’appui des rêves il y a une direction à prendre, dans le « tenter de vivre » il y a la promesse d’y parvenir, c’est-à-dire de réussir sa vie – avec et contre les vents."

Enfin, si je me poste pas très souvent en ce moment, c'est que je suis plongée dans le livre "Confiteor" de Jaume CABRE.
C'est un monument de 770 pages environ, qui nécessite du temps de cerveau disponible.
Je vous cite une critique parue dans le Monde, meilleure que toutes celles que je pourrais faire:

"Il est presque impossible de raconter l'histoire de Confiteor, énorme roman publié en cette rentrée par Actes Sud, ou d'en résumer la richesse, la profusion, sans en réduire la portée et l'élan. Qu'on sache qu'il s'agit, en (très) gros, de la tentative d'Adrià Ardèvol y Bosch, alors que sa mémoire se dérobe, de raconter son histoire et celle de sa famille, d'un violon d'exception, d'une médaille, et que, pour le faire, il ne brasse rien de moins que l'histoire de l'Europe, de l'Inquisition au franquisme, en passant par le nazisme."

Histoire du mal au travers les siècles, de la quête de la beauté, de la trahison, de l'amitié, de l'amour..
Le tout magistralement écrit et construit, ciselé, pour que le lecteur, enfin reconnu comme personne intelligente, se perde et se retrouve dans les méandres de ce roman universel.

Un très très grand moment de bonheur, et le sentiment, en tant que lectrice, d'être reconnue par l'auteur..

Zou, j'en suis à la page 607, le vent se lève, il faut tenter de vivre, j'y retourne!