mercredi 25 mars 2015

Je suis une grande fille toute simple, avec des goûts de luxe.

Me revoilou!
Comme toute retraitée qui se respecte, j'étais débordée ces derniers temps, en plus d'avoir la crève.
Mais, notre ministre de l'écologie nous l'ayant affirmé sans rire, il n'y avait pas de pics de pollution à Paris!
Pas vu l'éclipse because mauvais temps, dîner copines jeudi soir, le mariage d'une cousine samedi dernier..
(j'ai trouvé pour l'occasion  un nouveau dicton: "mariage frileux, mariage heureux")..
Visez un peu la commanderie des Templiers..pour la séance photos.. on se croirait en novembre!


Heureusement que l'ambiance et la bonne humeur ont réchauffé l'atmosphère!
Dimanche, je suis sagement allée voter.
Et depuis, hier, je commence à respirer à peu près normalement.
Ouf! je vais pouvoir aller à mon cours de gym demain, parce que là, mon bidon se relâche...

Je reprends donc mes activités, y compris dans le domaine culinaire!
Hier, première confection d'une "foccacia aux tomates confites", pain à l'huile d'olives comme chez moi (fougasse, foccacia, on sent une racine méditerranéenne, non?) ..miam!

Mon intérêt pour la cuisine ne s'arrête pas là: je suis en ce moment plongée dans un fabuleux bouquin:


"Histoire architecturale de la cuisine, depuis celles des abbayes européennes aux créations majeures du XXe siècle en passant par les châteaux et les palais. Les innovations réalisées dans cette pièce, l'évolution de la cheminée et des ustensiles sont décrits et le rôle joué par les cuisiniers, domestiques, architectes, idéologues, ménagères, etc. mis en lumière.
Qu'est-ce qu'une cheminée sarrasine ?
Qu'est-ce qu'un happelopin ?
En quoi l'invention du potager constitua-t-elle une révolution culinaire au XVIIe siècle ?
Dans quelle partie de l'habitation doit-on installer les cuisines ?
En quoi les féministes américaines des XIXe et XXe siècles ont-elles radicalement changé notre façon de considérer les pratiques domestiques ?

Toutes ces questions - et bien d'autres - trouvent leur réponse dans le présent ouvrage, où l'érudition de l'auteur et son goût de l'anecdote rendent captivante cette histoire, du Moyen Âge à nos jours, d'une pièce essentielle de nos habitations occidentales."

Mon mari commence à craindre mes exigences dans ce domaine si nous déménageons un de ces jours.
Mais non!

Comme je le disais en titre de ce post, je suis une grande fille toute simple.
Mais qui a parfois des goûts de luxe.
Ce matin, donc, je m'en fus place Vendôme, pour y chercher.. mon dentifrice.
Voilà. Il y en a qui vont sur cette place pour des bijoux, moi, c'est pour du dentifrice.
Mais attention, pas n'importe lequel.
Depuis que j'ai découvert à Florence les produits de la "Farmacia Santa Maria Novella", dont leur dentifrice merveilleux,  je ne peux plus m'en passer.


Là, je n'en avais plus, et difficile de dire que je voulais un séjour à Florence juste pour nettoyer mes quenottes...

Donc, après moultes recherches sur le Net, j'ai trouvé un revendeur sur Paris..je vous le donne en mille: Place Vendôme..ou plus précisément, rue de la Paix.

 J'ai donc pris le métro, toute simple que je suis, pour aller dans la somptueuse boutique Amin Kader,


acheter 2 tubes de dentifrice, 14€ l'un.


Je l'avoue, ce n'est pas donné.
Mais reconnaissez qu' aller dans cette rue et revenir en y ayant dépensé 28€.. en dentifrice, ce  n'est pas commun.
Voilà donc désormais le lieu de mes emplettes:



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