jeudi 18 avril 2013

Petites news sympas.

Je continue à lutter contre la morosité ambiante!

Donc, première nouvelle excellente: j'ai enfin porté ma doudoune au pressing!


Ce qui veut donc dire qu'il y a du soleil et qu'il sert enfin à quelque chose..


Là, sincèrement, porter ma doudoune au pressing.. était devenu un mythe auquel je m'accrochais depuis plusieurs semaines!

Autre bonne nouvelle, nous avons pu fêter l'anniversaire de ma fille (27 ans..) et j'ai réussi à concocter un "menu mou" réussi!
A savoir, en entrée: tartare de saumon avec ses rillettes et mousse d'avocat:


En plat principal: tajine de baudroie sur lit de pommes de terre fondantes, et en dessert, charlotte aux fruits rouges, mousse de framboise et glace vanille/ framboises.
Miam. Aucune photo à vous proposer, tout a été dévoré!

Par contre, j'ai trouvé une nouvelle technique pour repeindre ma cuisine en amorçant mon siphon contenant la mousse de framboise..ainsi que mon mari..

Cela m'aura permis de faire le lendemain mon grand ménage de printemps!

Enfin, un grand coup de coeur pour le dernier bouquin que je viens de finir:

Je vous cite une critique qui correspond tout à fait à ce que j'ai ressenti:
"Fin des années 50, États-Unis, une petite bourgade perdue dans la campagne. Arrive Charlie Beale, jeune homme dont on ne sait rien, excepté qu'il a pour tout bagage : ses outils de boucher, sa camionnette, et une valise pleine d'argent.
Il semble enfin avoir trouvé l'endroit qu'il cherche, une place pour lui dans ce monde, et il s'y sent bien. Il s'installe alors dans cette bourgade, dans la vie de ses habitants, dans leur coeur aussi... jusqu'à ce qu'il rentre l'Amour avec un grand A, une passion dévorante pour la plus belle femme qu'il ait jamais rencontrée...
Tout en finesse, en tendresse, Goolrick nous offre ces personnages comme autant de cadeaux, avec leurs faiblesses et leurs forces, leurs qualités et leurs petits défauts... avec précision, il nous conte la fin inévitable de la passion qui consume ses héros, et l'impact que cela peut avoir sur le reste du monde... Avec poésie, délicatesse et amour, il nous livre cette histoire comme un présent".
Ce livre est un réel éblouissement, une tragédie simple et bouleversante..
Bref, j'ai adoré!

Enfin, un petit clin d'oeil: je vous avais parlé du décès du peintre ZAO Wou Ki.
Le faire-part du Monde à son sujet est tout à fait classique, sauf la dernière phrase:
"ZAO Wou Ki aimait toutes les fleurs, excepté les glaïeuls"..
Petite touche d'originalité qui donne un aperçu de l'humanité de ce grand personnage.

Demain, je vous raconterai ma journée à l'école de cuisine Ducasse.. un grand moment!

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