jeudi 3 mai 2018

En avril, ne te découvre pas d'un fil, en mai fait ce qu'il te plait.

Voire.
La météo continue depuis ce début d'année à jouer au yoyo.



Après la neige en mars, les orages, les bourrasques de pluie et de vent en avril, le mois de mai n'arrive pas à fixer le beau temps.

D'après les jardiniers, c'est la faute aux 4 cavaliers (St Georges, Marc, Robert et Philippe), puis aux saints de glace (Urbain, Pancrace, Servais et Mamert) qui débuteront le 11 et se termineront le 13 de ce mois (merci Wikipédia)!

En attendant, nous oscillons entre trempette dans la piscine sous le soleil, et remise du chauffage certains jours..

Mes fleurs continuent à s'ouvrir, ce qui est bon signe:


Nous investissons sur un avenir radieux et ensoleillé en changeant notre salon de jardin, ce qui n'est finalement pas du luxe, le nôtre ayant dépassé 25 ans, et voilà donc le changement de style de la terrasse:


J'essaie même dans ma cuisine de tenter le soleil en réalisant des amuse-bouche tout printaniers:


Pour l'instant, ça ne marche  que très moyennement, il faut bien le dire.

Les activités reprennent avec la fin des vacances scolaires, piano, yoga, conférence sur l'Iran (youpi, bientôt le départ!), dîner avec les copains, et, ne reculant devant aucun risque, on tente même chez nous un pique-nique dimanche avec la bande des joyeux organistes (que la météo soit avec nous..).

Je continue à suivre mes cours sur Picasso via le MOOC Solerni,  ai replongé dans la deuxième saison de la série Westworld , (prise de tête équivalente à la première saison garantie).




Cerise sur le gâteau, je viens d' avoir le méga coup de coeur pour un livre dense, magistralement bien construit, qui nous renvoie aux pages sombres de l'histoire argentine et nous interpelle sur les limites de notre libre arbitre, j'ai nommé:


On ne sort pas indemne de ce livre, mais je vous le recommande vivement.

Régal en perspective: aujourd'hui sort le dernier ouvrage de Frédéric Couderc, déjà chargé sur ma liseuse:



J'avoue, je ne le commence pas de suite, car l'intrigue se situe.. en Argentine, les cicatrices laissées aux survivants de la junte militaire..

Je fais donc une pause en relisant "la cousine Bette" de ce cher Balzac, pour me rincer la tête avant de plonger dans l'écriture de cet écrivain remarquable.

Bref, je torture mes neurones, et j'adore çà..

Imaginez donc ma rage lorsque je reçois des appels téléphoniques m'apprenant que "le conseil régional de Lattes" (sic) veut vérifier gratuitement mes combles, ou, mon hurlement de rire de la semaine: que je viens d''être sélectionnée pour participer au prochain Koh-lanta..

Ne rêvez pas, j'ai décliné l'invitation!




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