mardi 30 septembre 2014

Bonsaï et forêt vierge.

Een août 2011 je déplorais la situation d'un certain bonsaï offert par une de mes filles à mon époux à l'occasion de la fête des pères..
Il dépérissait, perdait ses feuilles, se ratatinait, et je ne savais plus que faire.
Je me rappelle vous avoir raconté ma stupéfaction à la lecture de certains manuels spécialisés sur les bonsaïs, me conseillant "de me mettre à l'écoute" de celui-ci..

Or, je viens de réaliser que depuis, je ne vous ai plus donné de ses nouvelles, alors qu'après l'avoir transplanté et mis dehors, grâce à mes soins (in)constants.. il est en pleine forme sur mon balcon, frétillant des branches et des racines!
Visez un peu:

Vous avez donc ici la version miniature d'un arbre sur le versant salon de mon appartement.

Voici maintenant la version forêt vierge, côté chambres:
Certes, de la verdure près de la Défense c'est sympa,   mais là, ça commence à devenir un peu oppressant.

Quand j'ouvre le matin les volets de ma chambre, je découvre ceci:
Je ne vois même plus le ciel, et j'ai l'impression que les arbres petit à petit vont m'envahir!
.
Je ne sais pas si le syndrome d'Angkor Vat existe, mais je pense en avoir les symptômes.

Heureusement, après 3 ans de réclamations et de devis divers proposés au syndic et votés en AG, l'élagage devrait enfin avoir lieu ce jeudi.. alléluia!

Et pendant ce temps-là, je serai à Florence pour 3 jours, na!
J'espère à mon retour revoir le ciel de ma chambre en me levant le matin..


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