mercredi 22 janvier 2014

Kitchen, sweet kitchen..


Il fait froid, il pleut, il fait tout gris, tout moche..
A part mon dodo dans lequel je commence mon hibernation, j'ai trouvé mon cocon: ma cuisine.
J'y passe de plus en plus de temps.
Là au moins il fait chaud, ça sent bon..
Que peut on bien cuisiner en ce moment vous demandez-vous?

Alerte: c'est la saison des oranges amères, pile en ce moment, de quoi se réchauffer le coeur et les papilles, et embaumer la maison pendant 2 jours, durée de la préparation.
Oui, c'est long, mais quelle merveille..

Bon, cette année, j'avoue y être allée un peu fort en achetant d'emblée 2,5 kilos d'oranges amères, qui m'ont donné 12 pots de marmelade sublime.
Maintenant, je n'ai plus de pots de confiture vides, et j'ai commencé à en distribuer autour de moi, avis aux amateurs!
Visez un peu, je ne suis pas peu fière de moi:

Et pour vous faire saliver, regardez comme c'est joli:


Je ne me suis pas contentée de cela.
Lundi matin, rendez-vous chez ma chiro préférée pour qu'elle me remette l'épaule d'aplomb.
Une heure de pétrissage, malaxage et autres tortures diverses.
Je sens que vous cherchez le rapport avec la cuisine, là, en ce moment..
Il existe pourtant: osez avouer que vous appréciez particulièrement cuisiner, vous découvrirez que beaucoup de personnes autour de vous partagent cette passion!
Donc, ma chiro adore cuisiner, et m'a donné une recette de terrine absolument divine.(je lui ai passé celle de la mousse au chocolat-minute de mon côté).

Qu'ai-je fait mardi, à votre avis?
La terrine en question, et la voici, la voilà, nous allons la déguster ce soir:

Aujourd'hui, j'ai voulu sortir de ma situation "popote" et je suis allée au ciné voir le film qui sortait et dont tous les critiques font l'éloge:
"12 years a slave"

.

Le pitch: "Les États-Unis, quelques années avant la guerre de Sécession. Solomon Northup, jeune homme noir originaire de l’État de New York, est enlevé et vendu comme esclave. Face à la cruauté d’un propriétaire de plantation de coton, Solomon se bat pour rester en vie et garder sa dignité. Douze ans plus tard, il va croiser un abolitionniste canadien et cette rencontre va changer sa vie."

Je ne sais pas si je dois le dire, au risque de me faire lyncher, mais j'ai trouvé le film bon, excellemment interprété par tous les acteurs, mais.. une impression de manque, ou de déjà vu, peut-être en moins bien. Je n'ai pas ressenti d'empathie particulière pour le personnage principal, trouvé le tout un peu manichéen et quelque peu racoleur question violence.
Ceci dit, c'est un bon film.
Voilà.
je retourne à ma cuisine!

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