samedi 22 octobre 2022

Ciboulette débordée, mais en VAE!

 Et le voilà, tout beau, tout neuf, mon nouveau vélo à assistance électrique!


Je le reconnais, l'idée d'en acquérir un me trottait dans la tête depuis un bon moment déjà.. les superlatifs des copains détenteurs de ce type d'engin, mes articulations qui commencent à rouiller, la pénurie d'essence.. 

Toutefois,  l'achat de ce type de vélo ne se serait pas concrétisé aussi vite si nous n'avions pas eu l'idée d'aller faire un tour à la foire internationale de Montpellier.


Une foire internationale, je n'y avais jamais été, donc, lorsque mon époux a suggéré que nous y fassions un tour, j'ai pensé qu'il était temps de combler ce manque.

Malgré l'affiche, je n'y ai rien trouvé en rapport avec le celtique, mais nous y avons passé une bonne partie de la journée.

Un vendredi matin, à l'ouverture pas grand monde, nous étions forcément la proie de tous les camelots faisant chacun preuve d'un bagout à faire pâlir d'envie le moindre apprenti de l' impro.

Toujours amusants, ces stands où ne nous sommes pas arrêté, dont:

les fameux voyants;


la bière locale bien nommée:


le stand de bonbons, nous sommes devenus raisonnables, nous l'avons snobé.




Mais à part cela, quelle débauche de produits en tout genre: accessoires de cuisine, autocuiseurs, moustiquaires, sacs à dos révolutionnaires, outils de jardins, perceuses, mobilier de jardin.. nous avons fini par nous échapper pour arriver au stand de vélos électriques.

 Là, nous avons finalement craqué!

 Après de nombreux essais, rabais, promesse de subvention de la Métropole, ça y est, je pédale maintenant sans complexes devant la moindre côte!

Il faut encore que je maîtrise entièrement la bête, acquière l'ensemble des réflexes avant de démarrer.

Et reçoive les 500 € de l'agglomération montpelliéraine..

Entretemps, une nouvelle sortie au théâtre de Lattes pour assister à du Feydeau, un stage d'écriture théâtrale pour mon mari, une sollicitation du théâtre pour que nous participions à la lecture d'une pièce,  ouf, n'en jetez plus, vivement la retraite!

Pour conclure, une virée à Narbonne dont je vous propose quelques vues, sous la grisaille, certes, mais culturellement superbe.




Enfin, un dernier conseil de lecture, si vous avez fini le merveilleux livre de Valentine Goby dont je vous ai déjà suggéré l'ouvrage "l'île haute", la dernière et surprenante dystopie de Laurent Gaudé "Chien 51", je vous recommande vivement le dernier ouvrage d'Olivier Truc:


Une plongée ébouriffante dans ce pays étonnant des années après les attentats et affaires politiques liées à la vente de sous-marins français..
Le pitch pour vous mettre en haleine: " en 2002, à la sortie d’un hôtel à Karachi, un attentat à la bombe a coûté la vie à 14 personnes, dont 11 ingénieurs français travaillant à la mise au point d’un sous-marin acheté par le gouvernement pakistanais. Toutes les victimes venaient de la base navale de Cherbourg.
Vingt ans après, un jeune journaliste localier proche de l’un des ingénieurs rescapés de l’attentat décide de mener une véritable investigation sur les coupables. Une enquête menée par les Français a certes révélé les probables pots-de-vin ayant servi au financement de la campagne de Balladur, mais tout s’est arrêté là. Les victimes ont été abandonnées.
Le journaliste trouve à Karachi de l’aide auprès d’une jeune lieutenante pakistanaise et d’un homme droit, fidèle aux valeurs du travail bien fait et de la loyauté. Mais il progresse dans une jungle de mensonges politiques avant de s’apercevoir que la vérité de Karachi ne se trouve pas dans les journaux mais peut-être dans les poèmes que tous récitent.
Des personnages attachants et une enquête rigoureuse nous plongent dans les mystères de la ville de Karachi, mais nous dévoilent aussi les luttes de pouvoir régionales et syndicales en France. Un thriller remarquable, furieusement décoiffant, au rythme addictif."





Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire